Jésus dit que la joie est comme le labeur d’une femme qui accouche. La joie est comme le labeur. Elle est comme l’accouchement d'un bébé. On ne peut pas l’arrêter. J’ai déjà eu le privilège à trois reprise de voir une femme accoucher…d’une manière très intime. Il y a une chose que je sais sans doute : personne peut arrêter les labeurs d’une femme.
Nos trois fils sont venus au moment inattendu… Surtout Samuel, mon fils aîné. À l’époque, je servais comme pasteur adjoint à l’Eglise Evangélique de Nogent-sur-marne. Nos trois fils sont né à Nogent. Je voulais bien sûr prévoir du temps libre afin de bien vivre l’heureux avènement. J’avais vidé mon agenda autour de la date prévue… Pour le faire, j’avais aussi accepté d’avantage de responsabilités avant cette fameuse date. Samuel est né avec 6 semaines d’avance, le 22 nov. 2000…juste avant Noël en plus. On a gardé Karen à la clinique Armand Brillard pendant 17 jours. J’avais 5 prédications à préparer en Nov et Déc. Je ne pouvais pas dire à Karen, « Arrête toi. J’ai trop de boulot. Attends le mois prochain quand j’ai plus de temps… comme j’ai prévu. Elle ne pouvait attendre 5 minutes de plus. En fait, sa vie était en danger. Elle était mourante. Il faillait que le bébé sorte … tout de suite. Alors, en Nov et Dec 2000, c’était avec douleur et joie à la fois que j’ai donné naissance à trois prédications à l’hôpital Brillard à Nogent-sur-marne. Il était l’heure !
Si on rencontre le Christ Ressuscité, on a de la joie. La joie provient comme le labeur d’une femme qui accouche. On ne peut l’arrêter.
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